• (514) 765-0425

Menu Close

Le Salon 1861 remporte le prix de l’innovation 2017 pour l’impact culturel

La publication parisienne Le Monde a nommé Le Salon 1861 comme lauréat du Prix de l’innovation, dans la catégorie Impact culturel, dans le cadre des Prix internationaux de l’innovation Le Monde-Smart Cities 2017.

La cérémonie de remise des prix a eu lieu le 2 juin 2017 à l’École de politique publique Kuan Yew, à Singapour. Les candidats ont été évalués par un jury composé de 17 professionnels, comprenant des urbanistes, des sociologues et d’autres spécialistes.

Véronique Fournier, directrice générale du Centre d’écologie urbaine de Montréal, faisait partie des juges du concours. Elle est montée sur scène pour accepter le prix devant 800 chefs de file mondiaux.

Ce n’est pas la première fois que Madame Fournier collabore avec GI Quo Vadis. Elle fait la promotion du développement local, des politiques urbaines et d’autres innovations communautaires depuis plus de 15 ans. Ancienne élue de l’arrondissement Le Sud-Ouest, elle dirige aujourd’hui une équipe dévouée au CEUM.

. Le CEUM est un organisme sans but lucratif ayant pour mission de rendre les villes plus durables, plus démocratiques et plus saines. Parmi les initiatives que Madame Fournier a mises en place, il y a l’événement annuel Jane’s Walks. Il s’agit de sorties de groupe qui encouragent les membres de la communauté à échanger pour mieux se connaître et en savoir davantage sur leur quartier. C’est au cours de l’un de ces événements – à partir du futur site de Legado jusqu’à Quo Vadis et au Salon 1861 – que Nathalie Voland et Véronique Fournier ont d’abord partagé leurs réflexions sur la régénération urbaine.

Madame Fournier était intriguée par l’idée de collaborer directement avec un promoteur immobilier tel que GI Quo Vadis, plutôt que de travailler avec des responsables municipaux qui transmettent des directives aux promoteurs, comme c’est habituellement le cas. Les projets publics comme ceux du CEUM impliquent normalement des organismes sans but lucratif et des groupes de défense des citoyens. Elle reconnaît que les entreprises ne faisaient pas toujours partie de la discussion.

« Les entreprises ont beaucoup à offrir. Je crois qu’il serait intéressant de s’inspirer de modèles économiques et de faire en sorte que quelque chose se passe du point de vue des citoyens », affirme-t-elle.

En tant que société vouée au développement durable, Quo Vadis était donc un partenaire idéal. Elle note que lorsque les entreprises participent aux discussions, elles prennent davantage conscience des besoins de la communauté. Cela leur donne également la possibilité d’aider les groupes communautaires et sans but lucratif à atteindre leurs objectifs.

Véronique Fournier espère que d’autres entreprises seront impliquées sur le plan local. À l’échelle mondiale, elle croit que des concours comme celui du Monde inciteront d’autres acteurs à favoriser le développement durable.

Share This

Copy Link to Clipboard

Copy